3 réflexions au sujet de « Retour sur la soirée du 26 novembre 2021 »

  1. Une magnifique et utile soirée, un grand merci. Les pistes ouvertes par Gabriel Monet sont particulièrement inspirantes.

  2. Nous espérons que cette soirée vous a permis d’élargir le champ de votre réflexion sur ce sujet et vous servira dans les prochains mois. A titre personnel j’ai trouvé le dialogue entre JP Willaime & G. Monet particulièrement intéressant et les divers exemples de vie d’église inspirants. La possibilité de dialoguer entre membres de paroisses très diverses a été également très enrichissant.

  3. Les deux phases de la conférence ont été animées par des experts à l’aise avec les concepts, les analyses, les déductions qu’ils ont exprimées, chacun dans son domaine. Rédiger, sur le fond, un commentaire de « béotien » c’est risquer le ridicule. Tant pis.
    Les idées proposées par Gabriel Monet concernant le « profil du pasteur du futur » me semblent s’inscrire totalement dans le sujet synodal « Mission et ministères ». Si j’ai bien compris, le conseil de Gabriel Monet est de remplacer le pasteur-type d’un haut niveau « académique » par un pasteur « animateur » capable de mettre en œuvre des forces et outils multiples : le témoignage, le relationnel, le collectif, la capacité d’être et de faire dans une situation ultra-minoritaire et un contexte social varié, diversifié et ceci sans négliger la primauté de Dieu et de tout ce qu’il a donné aux humains de connaître de Lui.
    C’est peut-être cela qu’il faut faire !!!
    Dans ce cas ne faudra-t-il pas bouleverser le contenu des cours de l’IPT ? Mettre en sourdine la recherche d’une « excellence académique » et renforcer le savoir-être, le savoir-faire et la capacité de « se faire tout à tous » ?
    Sous un autre angle d’observation/réflexion, je vois la situation actuelle du face à face entre l’EPUF et la « société civile générale » comme l’opposition de 2 forces :
    – L’une, l’EPUdF, ayant adopté une défense de « tranchées », une sorte de combat « de position » avec des troupes « éclatées » et un pouvoir central, certes bienveillant, volontaire, … mais assez éloigné du terrain.
    – L’autre, consciente de sa puissance supérieure, de sa force d’entrainement et de ses victoires successives, les plus simples et évidentes étant celles de la désaffection numérique et du vieillissement des membres engagés dans l’EPUdF, et qui leur dit gentiment : « range-toi, capitule et profite de ce que je t’offre » !
    Tout ce trop long et trop fragile développement pour une question : le système presbytérien-synodal tel qu’il fonctionne aujourd’hui est-il capable d’apporter une réponse victorieuse à la situation de l’EPUF ?
    Fraternellement
    Crouzet René

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